L’amour est le sentiment suprême
Il est fait de patience, de tendresse et de haine
Tako Tsubo
Tu étais le printemps et moi, je suis l’automne
Ton cœur se prend alors que le mien se donne
Tako Tsubo
N’oublie jamais comme je t’aime, chère amie
Même si, loin de moi, peu à peu tu m’oublies
Tako Tsubo
Désormais, les parois de ma vie sont si lisses
Et plus je m’y accroche… et plus je glisse
Tako Tsubo
Sans plus aucune larme pour noyer mon chagrin
A petit feu, mon cœur brisé s’éteint
Tako Tsubo
Tako Tsubo…
Je me permets aujourd’hui de reproduire ce superbe poème pour illustrer un petit article sur le syndrome du tako-tsubo. Si vous y voyez un inconvénient (j’ai mis bien sûr le lien pour faire connaître votre site) je l’enlèverai aussitôt. Mais comme c’est aussi le printemps des poètes je trouvais bien à propos de le faire.
Bonjour Manou, le partage est le bienvenu et je vais en faire autant en plaçant un lien vers votre blog: http://bulledemanou.over-blog.com/tag/decouverte/. Je vous souhaite un agréable dimanche 😉